
Beaucoup imaginent la zone d’exclusion de Tchernobyl (30 km) comme un no man’s land boisé et sans vie. Mais y entrer peut en fait parfois demander de la patience. Entre les employés de la centrale, ceux qui travaillent sur les grands chantiers en cours et les « touristes de l’extrême », les policiers et garde nationaux chargés de contrôler les autorisations à l’entrée, et le niveau de contamination des visiteurs à la sortie, ne chôment pas…
Reportage réalisé à Tchernobyl pour Paris-Normandie